28/03/2008
Coples XVIII
Brouillard de l'opium tout trempé d'indolence,
Robe d'or suspendue aux jardins du silence.
22:05 Publié dans Coples | Lien permanent | Commentaires (2)
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Brouillard de l'opium tout trempé d'indolence,
Robe d'or suspendue aux jardins du silence.
22:05 Publié dans Coples | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Entre les tombes grises aux lettres d’or
J’ai cherché longtemps, je n’ai pas trouvé
La maison noire où tu dors.
Je m’en souviens il pleut encore
Sous la pluie on t’avait couchée
Dans le royaume des morts
Nous étions six dans ce décor
Je n’avais pas pleuré
Je pleure encore.
Écrit par : aliscan | 19/11/2008
Le soleil brillait.
Je n'ai pas pleuré.
J'attends encore mes pleurs.
Suspendus, ils sont suspendus dans le décor.
Écrit par : lidia | 21/11/2008
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