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15/02/2009

Chanson XIV Alcôve noire

Ces premiers froids que l’on réchauffe d’un sarment,
— Et des platanes d’or le long gémissement,
— Et l’alcôve au lit noir qui datait d’Henri IV,
Où ton corps, au hasard de l’ombre dévêtu,
S’illuminait parfois d’un rouge éclair de l’âtre,
Quand tu m’aiguillonnais de ton genou pointu,
Chevaucheuse d’amour si triste et si folâtre ;
— Et cet abyme où l’on tombait : t’en souviens-tu ?

20:06 Publié dans Chansons | Lien permanent | Commentaires (4)

Commentaires

Ivresse
Quelques gouttes de sang
Sur le pavé

Écrit par : aliscan | 18/02/2009

Trébuché.
Ecorché.

Écrit par : lidia | 22/02/2009

Silencieuse mais présente...

Écrit par : ariaga | 08/03/2009

J'espère bien !

Écrit par : aliscan | 09/03/2009

Les commentaires sont fermés.