19/03/2009
Contrerimes XIX
Rêves d’enfant.
Circé des bois et d’un rivage
Qu’il me semblait revoir,
Dont je me rappelle d’avoir
Bu l’ombre et le breuvage ;
Les tambours du Morne Maudit
Battant sous les étoiles
Et la flamme où pendaient nos toiles
D’un éternel midi ;
Rêves d’enfant, voix de la neige,
Et vous, murs où la nuit
Tournait avec mon jeune ennui...
Collège, noir manège.
16:35 Publié dans Contrerimes | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je crois que dans notre vie onirique nous ne faisons que continuer nos rêves d'enfant sous des habillages différents. Amitiés à l'homme préhistorique.
Écrit par : ariaga | 24/03/2009
Que deviens tu ? Je suis allée voir ta pièce ...amitiés.
Écrit par : ariaga | 03/04/2009
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